brouille le brouille
ahahhh. un baillement qui m'emporte la bouche à faire tomber le
bisstèque qui me sert de langue. Ya pas à dire les langueurs d'été sont
dures à subir. Il pleut, il mouille, fai cho et on y peut rien sinon
émettre un râle pré mortem. Tout ça pour dire qu'on est des limaces
molles et humides et que pour s'étendre sur l'érotisme sur un lit de
salade bien frais, faut quand même pas ménager sa salive. Allez à plus et bonne canicule (fesse de chien en anglais).